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Laurie Walker : Artiste multidisciplinaire (2 février 1962 – 11 février 2011)

Dernière mise à jour : 7 mars 2022

En 1984, elle obtient un baccalauréat ès arts de l'Université Mount Allison puis, trois ans plus tard, une maîtrise dans le même domaine du Nova Scotia College of Art and Design.


Les premières installations de Laurie Walker combinent des illustrations botaniques avec des machines industrielles puis évoluent afin d’inclure des éléments biomédicaux, de la taxidermie, de la neurologie et des projections. En 1994, elle présente une expo solo au Musée d’art contemporain de Montréal, intitulée Seeing Blue.


Dans le cadre de ses recherches de nature scientifique, Laurie Walker a contribué au développement d’une hypothèse portant sur la cause du Syndrome de fatigue chronique, la maladie qui a conduit à sa mort.


Ses œuvres font parties des collections de plusieurs institutions dont celles du Musée des beaux-arts du Canada, du Musée des beaux-arts de Montréal et du Musée régional de Rimouski.


Crédit :

1-2. Hive, Laurie Walker, installation , 1997, photo Paul Litherland., CCCA - base de données sur l'art canadien.

3-4-5. A Portrait of the Artist as a Wave, Laurie Walker, installation , 2000-2002, photo John McInnis., CCCA - base de données sur l'art canadien.

6-7. Sisyphus, the Dung Beetle, Laurie Walker, installation, 2003, photo par l'artiste., CCCA - base de données sur l'art canadien.

8. Laurie Walker, c. 1984, photo: Paul Christopher, WikiCommons.



Sources :

Base de données sur l’art canadien Université de Concordia

Armstrong, John. Laurie Walker: A Material Writing of Things. C Magazine 43, Automne 1994 (anglais ).

Jager, David. Mythic message. Laurie Walker reinvents Prometheus. NOW, janvier 12-19 2012. (anglais)

Landry, Pierre. Laurie Walker : Seeing Blue. Montréal, Musée d art contemporain de Montréal, 1994

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